mercredi 2 octobre 2013

Ici, là-bas, et ailleurs...

Une note en vrac, à l'image de ces derniers jours.


D'abord, LONDRES.

Don't Stop Believing, un jour je serais dans une comédie musicale
Plus de 2 ans après mon dernier passage dans la capitale anglaise, petit week-end prolongé dans ma seconde ville de coeur. La gare de Saint Pancras est toujours là, aussi majestueuse que d'habitude (bien que, si comme moi tu y as déjà passé 4 heures un 23 décembre à attendre un hypothétique Eurostar pour aller fêter Noël en famille, tu sais que c'est une gare ouverte à tous les vents frais de l'hiver). Les anglais sont toujours aussi agréables, les Pret a Manger toujours à chaque coin de rue, la bière toujours peu chère.
C'est bien connu, quand on habite quelque part on n'y fait jamais les visites, les musées et les expos. Du coup, j'ai profité de mon passage cette fois-ci pour aller voir une comédie musicale, ce que je n'avais pas fait à l'époque. Et pas n'importe quel spectable, ROCK OF AGES.

C'était fantastique, complètement survolté, hilarant, et forcément la bande son est au top (si on aime le rock FM des années 80, j'entends). En sortant, tu as l'impression d'être saoul tellement c'est prenant. J'ai même envisagé quelques instants plaquer ma vie et postuler pour être dans la troupe. Puis je me suis souvenue que je ne sais ni chanter, ni danser, donc je me suis ravisée.

Ensuite, petite escapade de couple dans la ville côtière de Brighton, à 1h en train de Londres. C'est mignon, coloré, plein de petites rues et de magasins de fringues, de cafés bio, de librairies indépendantes... Ca ressemble un peu à l'idée que je me fais de San Francisco (niveau visuel, parce que sinon c'est plein d'anglais et de trucs totally british).

Et enfin, balade du samedi à Greenwich, visite de l'Observatoire Royal et du Méridien, puis remontée de la Tamise en bateau-bus, et c'est déjà l'heure de reprendre le train pour Paris. So long London, see you next time !


Rock of Ages, le spectacle un peu glam

Brighton Beach, à la cool

Brighton Pier, toujours à la cool

Cutty Shark à Greenwich

La rue de notre appart de location avait un nom prédestiné




Ensuite, DISNEYLAND PARIS.
Incroyablement, ça doit bien faire 15 ans que je n'y avais pas mis les pieds. Avant mes 10 ans, j'y suis allée des dizaines de fois, il y avait toujours une occasion (sortie avec le centre aéré, parents d'amis qui avaient des pass, anniversaire...). Ce qui n'est pas malin, c'est qu'avec ma petite taille, je n'avais à l'époque pas pu faire les grosses attractions à sensation (il faut faire au moins 1,20m ou 1,40m selon les attractions, j'en était loin).

Mais maintenant je suis adulte, je dépasse le mètre cinquante, et j'ai de quoi me payer l'entrée (exhorbitante, je n'arrive plus à me souvenir si c'était aussi cher dans les années 90).

Extraction forcée de Space Mountain
Du coup, grosse séance de rattrapage des rollercoasters : j'ai fait Indiana Jones (mon premier looping de toute ma vie !), Space Mountain et le Rock'n'Roller Coaster Aerosmith. 


Bon en fait sur ces 3 là je n'ai pu en finir que 2, car on s'est retrouvés coincés dans Space Mountain. Oui, coincés. Pour ceux qui n'y sont jamais allées, c'est une montagne russe qui se passe entièrement dans le noir, avec une propulsion énorme au départ. Ben nous on est montés dans le wagon, on nous a attaché avec les gros trucs de sécurité, le train est parti, et pile après le décompte avant la "propulsion", panne générale. Fort heureusement, on était au tout début, où il y a un peu de lumière, sinon je pense que j'aurais fait une énorme crise de claustrophobie. Nous voilà donc arnachés sur nos sièges, à moitié à la verticale, à attendre. Finalement un employé for sympathique est venu nous sortir de là, et nous a donné des tickets pour revenir directement sans faire la queue plus tard dans la journée, quand ça serait réparé. Echaudée par l'aventure, et fatiguée après une journée d'attractions, j'ai préféré ne pas y retourner, et je pense que personne ne me jugera de ce choix.


Sinon, étrangement, et après toutes ces années, le parc m'a paru plus petit que quand j'étais enfant (normal), et surtout je me souvenais de chaque emplacement, de chaque endroit, de chaque file d'attente, de chaque détour dans le Labyrinthe d'Alice au Pays des Merveilles. 



Ho, Ho, Ho, A Pirate's Life For Me

Fun fact : mon pseudo vient de ce personnage saugrenu

Un lapin perdu et en retard.



Enfin, un colis de Corée.
Une fois n'est pas coutume, ce n'est pas un cadeau de ma globe-trotteuse de mère, mais un auto-cadeau, une commande passée sur internet il y a quelques temps. Sur un site coréen, donc, fort heureusement écrit en anglais, mais avec des prix en won, ce qui a son charme (et t'oblige à faire toi même la conversion pour savoir si ça vaut le coup).
Depuis mon passage au Japon, je suis tombée amoureuse de la marque SkinFood, qui est en fait coréene, donc un après-midi un peu oisif je me suis demandé si on pouvait en commander, ce qui m'a amené sur le site coréen TesterKorea, qui regorge de produits cosmétiques foufous à des prix défiant toute concurrence. Donc ni une ni deux, j'ai passé commande et un peu oublié dans la foulée, jusqu'à l'avis de passage du facteur hier.

Les rois du packaging de cosmétique

Trois produits It's Skin Babyface (anti-cerne, blush, crème hydratante), deux produits Skin Food (BB Cream et Poudre) et une multitude d'échantillons gratuits. J'ai donc maintenant 3 fois la poudre Skin Food, mais quand on aime on ne compte pas, et j'aime bien avoir du stock devant moi. 
Tout ça pour la modique somme de 37€ (frais de ports compris). Quand tu sais qu'un seul anti-cernes Benefit coûte 32€ chez Sephora, tu comprends ma joie à l'ouverture du colis.
Maintenant j'ai pleeeeein de produits de beauté, et je ne m'en sers pas car je suis bloquée chez moi à travailler seule avec mon chat. SYMPA HEIN.

Voilà, c'était 5 jours dans la vie passionnante d'Ookah, à vous les studios.

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